Couple KAMANZI-TAGANDA : vers la fin de la diversion et de l’imposture                                                                                                                                                          
Les KIFUAFUA en perte de vitesse, vers la fin de la diversion et del’imposture www.cndp-congo.org, Goma, le 07 août 2009 Le  diable  ne  saurait  se  camoufler dans la soutane du pape sans laisser pendantes   ses   cornes.  Sept  mois  seulement  auront  suffi  au  couple KAMANZI-TAGANDA pour offrir en spectacle sa nudité. Tenez,  selon  plusieurs  sources  proches  de  la 8ème région militaire du Nord-Kivu   à  Goma,  l’état-major  des  Forces  Armées  de  la  République Démocratique  du  Congo vient de signifier au Général Bosco NTAGANDA, et ce en  des  termes  clairs, son incompétence à engager les Forces Armées de la République. Il lui est désormais interdit d’intimer un quelconque ordre aux unités  de  l’armée  ou  d’octroyer des grades à ses éléments d’autant plus qu’il ne fait pas partie du commandement de l’armée nationale.
Il devra dès à  présent  se mettre à la disposition de l’état-major général des FARDC en attendant sa nouvelle affectation. Cette mesure est consécutive au désordre que  cet  officier  sème  au  sein  des  unités  de  l’armée, apprend-on de certaines  indiscrétions  à  la  8 ème région militaire. Les cas documentés sont  légion,  les deux derniers qui auraient fâché la hiérarchie des FARDC sont  :  d’abord,  l’octroi  des  grades  par cet officier à ses copains et frères membres de l’armée en dehors des structures légalement compétentes ; ensuite,  il  a  intimé,  par  écrit,  un  ordre  aux  unités FARDC pour un redéploiement dans certains secteurs pour des raisons inavouées et ce en se substituant au Commandement des opérations Kimia II.
A  l’état-major  des  FARDC,  on est loin de croire que le général NTAGANDA reste  ce  naïf  que  l’on  tend  à présenter au public et qui, sentant son arrestation  venir, était prêt à tout sacrifier y compris ses compagnons de lutte  pour se voir épargner de la coupe de la CPI. En réalité l’homme a su se  convaincre  qu’il  n’avait  pas de place dans un environnement de paix, d’où  il a décidé de constituer son propre mouvement insurrectionnel contre le  pouvoir  de  Kinshasa  en se servant de ce dernier pour une dotation en ressources  matérielles  adéquates.  On dit que NTAGANDA comptait se servirdes  effets  militaires destinés aux opérations contre les FDLR/Interahamwe pour  retourner les canons contre son allié.
Les mêmes sources révèlent que cet  officier général de l’armée entretient des relations suspectes avec un groupe  de  copains du Front Patriotique pour la Libération du Congo, FPLC, postés  de  l’autre  côté  de la frontière Ougandaise d’où il attendait des renforts  qui  devaient entrer par le poste frontalier de ISHASHA en vue de prêter main forte à son action prochaine. C’est pour cette raison que, dans son  plan  de  redéploiement des unités FARDC, l’intéressé voulait dégarnir toutes  les  positions  tenues par des officiers venus du CNDP qu’il estimemoins  collaborant,  et  qui  contrôlent  la bande qui s’étale sur toute la frontière  ougandaise. Dans la ligne de mire, en l’occurrence le Lt Colonel JAGUAR qui commande un bataillon dans le secteur. Le refus par ce dernier à répondre  positivement  à  un ordre manifestement illégal et intimé par une personne  non  attitrée  a failli rouvrir les hostilités dans le Nord-Kivu. Comme  on  le  voit, la pression semble s’exercer sur NTAGANDA après que le gouvernement se soit rendu compte qu’en réalité son allié n’avait jamais eu une ascendance quelconque sur les unités d’origine CNDP.
S’agissant  de  ses  relations  avec  le  FPLC, l’intéressé a reçu vers fin juillet dans son fief à KABATI, une délégation de ce mouvement conduite par deux  officiers  supérieurs  et  qui  y ont séjourné une semaine durant. Au retour  vers  l’Ouganda,  leur  jeep  a  été  interceptée par le service de migration  au poste frontalier de BUNAGANA, les deux officiers auront libre passage grâce à l’intervention du major MASOZERA, chef d’escorte du Général NTAGANDA.  Cependant, un officier des services de renseignements militaires en poste à cette date à BUNAGANA arrêté par le Colonel YAV, croupit dans la geôle à  RUTSHURU pour avoir laissé passer ladite jeep.
Selon les services des  renseignements de la 8ème région militaire, le FPLC dispose d’un vaste camp d’entrainement des militaires dans le grand-nord où des officiers d’un pays  voisins préparent les éléments dudit mouvement à une insurrection. Ce camp  se  trouverait  dans le secteur que contrôle un officier Mai-Mai bien connu dans la région sous le nom de Général MATABISHI. Pendant ce temps, la branche politique créée par NTAGANDA et placée sous la responsabilité  directe de son cousin Désiré KAMANZI n’a pas échappé, à son tour,  à l’ouragan qui souffle sur le congloméra de l’imposture. En effet, si NTAGANDA a su octroyer à son cousin un fauteuil, il n’a cependant pas su le   doter  d’une  capacité  intellectuelle  suffisante  pour  conduire  le congloméra.  Et  pourtant,  les  quelques  opportunistes que le couple a su drainer  dans  sa  girouette  au  prix  des promesses de postes au sein des institutions  de  la  République  se  fatiguent  d’attendre,  ils  crient à l’incapacité  du  Poulin  de  NTAGANDA  à  tenir  parole  et à conduire les affaires politiques, il l’accuse également de malversation financière, bien que  les finances dont question sont celles récoltées en toute irrégularité sur les véhicules qui empruntent la route de KIROLIRWE.
Dans une pétition initiée  à  ce sujet, ces opportunistes exigent le départ sans condition de Désiré  KAMANZI  pour  incompétence  notoire. Mais les violons sont loin de s’accorder  sur  la  personne  à  le remplacer, des candidats potentiels se bousculent  dans  le couloir du congloméra. Le seul qui semblait réunir une unanimité monnayée  au prix de quelques bouteilles de bière est sans doute l’honorable DUNIA  BAKARANI,  ce  député  MLC connu dans le temps pour non seulement son vagabondage politique mais aussi son hostilité acharné contre le CNDP  pour  lequel  il  est  aujourd’hui  prêt à troquer son siège pour présider aux destinées du congloméra, la course au poste au sein du gouvernement exige. Hélas, deux jours seulement après l’annonce de sa candidature à la présidence du congloméra, le coup de théâtre viendra de l’autre côté de la frontière à Gisenyi en territoire rwandais. Notre honorable député vient d’être  arrêté  par  la  Police  Rwandaise  pour  escroquerie  et  abus  de confiance. Il aurait disparu avec une importante somme d’argent appartenant à  un  jeune  entrepreneur  de  la  place  depuis plus de 3 ans avant de se réfugier  au  parlement  national. 
Notre  honorable  n’est  à  son premier forfait, on se rappellera qu’à  l’entrée à Goma de l’AFDL en 1996, l’honorable député alors étalant de quelques litres de carburant dans certaines avenues du quartier BIRERE à Goma a failli laisser sa peau dans la rue après avoir braqué la Banque Commerciale du Congo et vidé son contenu. Il eut la vie sauve grâce à l’indulgence d’un officier de l’armée rwandaise apitoyé par l’indigence du malfrat. Voila le type de personnage qui président à la tête du congloméra et qui hallucinent, sans rire, de conduire le destin de tout un peuple et du grand Congo. Heureusement qu’ils ne sauront survivre à la stratégie de l’usure et du pourrissement que l’allié kinois leur impose, lui au moins aura tiré profit de l’imposture pour se refaire la santé. Pour le  moment, le pouvoir du congloméra est dans la rue, ne peut le ramasser qu’un étourdi insensé.
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1 commentaire:
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